Titulaire d’un Baccalauréat et d’une Maîtrise en arts plastiques, Danielle Sauvé enseigne à la School of Visual Arts de l’Université de Boston depuis 2010. Tout comme ses œuvres d’art public, ses sculptures et ses installations présentées au Canada et aux États-Unis sont des lieux d’intimité et de mémoire. Les formes sinueuses, auxquelles l’artiste intègre parfois des mots lumineux à la limite du lisible et des objets du quotidien schématisés, traitent des notions corollaires d’immigration et d’exil, de traces furtives des souvenirs et d’intégration à la terre d’accueil.
VOIR :
« Le pré, la chambre et la culture des présences » de Danielle Sauvé, ESPACE #34, p. 17.
« Et le corps s’est fait oeuvre… » de Serge Fisette, ESPACE #43, p. 22.
« Danielle Sauvé : Entre l’intime et l’étranger, décalages et repères » d’Élisabeth Recurt, ESPACE #72, p. 35.
« La langue des ombres » de France Gascon, ESPACE #93, p. 31.